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Des universitaires s’intéressent au «chemsex» dans leurs recherches

Le phénomène du « chemsex » intéresse de plus en plus d'universitaires dans leurs recherches. L'expression, une contraction des mots anglais chemicals et sex, fait référence aux relations sexuelles sous l'emprise de la drogue, comme le gamma-hydroxybutyrate (GHB), la kétamine et la métamphétamine en cristaux (crystal meth). Les recherches menées sur le sujet ont notamment pour but de faire naître des ressources qui, pour l'instant, existent presque uniquement dans le réseau communautaire.

Le journaliste René Saint-Louis en a discuté avec Jorge Flores-Aranda, Ph.D., chercheur régulier à l'IUD et professeur à l’Université du Québec à Montréal.

Dans son reportage, il présente deux initiatives qui permettent de libérer la parole sur ce phénomène encore tabou et de récolter des données pour mieux connaître l'étendue du phénomène.